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État de la planète

Une question de culture

« Les êtres humains sont pris dans des systèmes culturels qui les façonnent et les contraignent et la plupart d’entre eux n’agissent qu’au sein du carcan culturel de leur existence. Les normes, valeurs, traditions et symboles culturels qui accompagnent tout être humain dans son développement deviennent ainsi « naturels ».

C’est pourquoi demander à des personnes qui vivent dans des cultures matérialistes de réduire leur consommation, c’est comme leur demander d’arrêter de respirer : elles y arriveront pendant un certain temps, mais ensuite, à court d’oxygène, elles recommenceront à respirer.

Avoir une voiture, prendre l’avion, vivre dans une grande maison, utiliser l’air conditionné, etc. ne constituent pas des choix décadents, cela fait simplement et tout naturellement partie de nos vies, du moins si l’on se réfère aux normes culturelles qui dominent dans un nombre croissant de sociétés de consommation à travers le monde. »

Comment sortir de la société de consommation – Édition de la martinière

 

La Planète bleue

Source : nasa

La Planète bleue peut-elle nourrir tout le monde?

La faim dans le monde

Les animaux d’élevage ne meurent jamais de faim pourtant un enfant meurt de faim toutes les 5 secondes et 923 millions d’autres souffrent de malnutrition.

10 millions d’être humains meurent chaque année de faim et de maladies liées à la famine.

http://www.bread.org

 

Un hectare

  • Le nombre de personnes nourrit par an par hectare est de
    • 22 pour les pommes de terre
    • 19 pour le riz
    • 2 pour le mouton
    • 1 pour le boeuf.
  • La moitié des surfaces agricoles dans le monde servent à produire l’alimentation des animaux d’élevages

Menace à la survie de la planète

Aujourd’hui, des scientifiques et organisations internationales déclarent la consommation de viande comme la principale menace à la survie de la planète.

La concurrence entre les animaux d’élevage et les hommes s’annonce très rude.

  • 80% de l’alimentation animale proviennent de cultures qui conviendraient également à la consommation humaine : maïs, soja.
  • A l’ère de l’élevage industriel, nos bêtes accaparent à elles toutes seules 60% de la production mondiale de céréales, soit 670 millions de tonnes ! Un volume qui suffirait amplement à nourrir les 923 millions d’êtres humains souffrant de malnutrition.
  • On estime qu’un végétarien consomme en moyenne 180 kilos de céréales par an alors qu’un consommateur de viande en gaspille 930 kilos par an.

Si on arrête de consommer des produits d’origine animale,

  • on réduit la destruction des forêts tropicales de 70 %
  • on sauve 923 millions de vies qui crient famine
  • on résout une grande partie du réchauffement climatique,
  • on évite certaines guerres
http://www.vegplanete.com
 

 

Des artistes qui dénoncent pollution marine

2.4 millions de détritus, c’est l’équivalent de ce que nous rejetons à la mer en une heure.

Expansion du terrain d’exploitation des sables bitumineux de l’Alberta (1984 à 2011)


L’exploitation des sables bitumineux génère entre 86 et 103 kilogrammes de dioxyde de carbone (CO2) pour chaque baril de pétrole produit. Par comparaison à 27 à 58 kilogrammes de CO2 pour une production conventionnelle par forage.

http://earthobservatory.nasa.gov/Features/WorldOfChange/athabasca.php

 

Le Monoxyde de carbone

Source de l’animation : http://earthobservatory.nasa.gov

Le monoxyde de carbone est un gaz incolore, inodore et très toxique pour les mammifères. Chez l’Homme, il est la cause d’intoxications domestiques extrêmement fréquentes, parfois mortelles.

Son émanation provient d’une combustion incomplète de composés carbonés et est accentuée par une mauvaise alimentation en air frais et/ou une mauvaise évacuation des produits de combustion (ventilation). Le mélange avec l’air est facile puisque sa densité est proche de celle de l’air16.

Wikipedia

 

Mes solutions d’être humain citoyen vert

  • Diminuer ma consommation de viande
  • Composter mes restes de table
  • Utiliser des énergies renouvelables comme la géothermie
  • Appuyer les organismes et me bâtir un réseau vert
  • Développer mon éthique de consommation
    • Réduire ma consommation
    • Acheter local, bio, équitable
  • Travailler moins pour moins polluer
  • Sensibiliser les gens qui m’entourent

 

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