Question à Regis Labeaume sur la protection des arbres
Je suis représentant des 1600 citoyens signataires de la pétition pour protéger les arbres matures et en santé de la Ville de Québec, dont ceux de la rue Barrin.
2 arbres sur 18 demeurent
Malgré 1600 signatures, la Ville n’a rien fait pour prévenir le désastre Barrin. Résultat : sur 18 arbres matures et en santé, il en reste 2 au 1489 rue Barrin.
Lors du dernier conseil, vous m’avez dit qu’il fallait faire la distinction entre les arbres privés et les arbres publics.
Arbres publics et arbres privés
Il existe sûrement une différence pour la ville et pour les promoteurs, mais pour les citoyens, y a-t-il vraiment une différence?
Non, pour les citoyens, il n’a pas de différence :
- Un arbre public produit autant d’oxygène qu’un arbre privé.
- Un arbre privé filtre autant l’air qu’un arbre public .
- Un arbre public fourni autant d’ombre qu’un arbre privé.
- Un arbre privé héberge autant la vie qu’un arbre public.
Il faut parfois se mettre dans la peau des citoyens pour voir qu’un arbre, c’est un arbre, et que tous en profitent.
Les citoyens ou le promoteur
De mon point de vue d’humble citoyen, l’administration actuelle a préféré le camp du promoteur plutôt que celui de 1600 citoyens signataires.
Tendez-vous l’oreille aux bonnes personnes?
La question
Lors du dernier conseil, on nous a dit (de la bouche du maire) que le cas Barrin était une grave erreur.
Quelle est l’erreur que la Ville de Québec a commise en émettant le permis de construction, et comment est-ce que la Ville s’assurera que cette erreur ne se reproduise pas?
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Réponse du maire lors du Conseil de Ville en vidéo
Voir la minute 108:00 [Première période de questions des citoyens]
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Article
Protection des arbres: Labeaume promet un «plan d’action»
Publié le 16 septembre 2014 à 22h02
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